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Révélation Explosive: Le Pouvoir Algérien a financé Macron via Haddad, selon une enquête Américaine !

Le mercredi, 08 mai 2019

Plusieurs sources dignes de foi évoquent, ce lundi 14 janvier, une enquête Américaine sur la forte probabilité d’un financement de la campagne du Président Français Emmanuel Macron par les caisses Algériennes.

Ainsi, selon ce qui est rapporté « au compte-gouttes », entre autres, par la journaliste Belge d’origine algérienne Layla Haddad , ce serait l’éternel prête-nom, le Patron des Patrons Algériens: Ali Haddad, qui aurait servi de mule, chargé des transferts.

Sur sa page Facebook, Layla Haddad : « L’ancien premier ministre TEBOUNE a voulu enquêter, il a été malheureusement très vite limogé par Saïd Bouteflika ». Elle ajoute : « Attendons de plus amples informations. J’en reçois en compte- gouttes pour l’instant ».

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Rappel: Visite de Macron en Algérie 2017.

Emmanuel Macron est reçu durant plus de deux heures au Palais du gouvernement par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et le ministre de l’Industrie et des Mines, Abdesslam Bouchouareb. Ses entretiens se terminent par de chaleureuses embrassades. Le lendemain, il déjeune avec le président du Forum des chefs d’entreprise (FCE), Ali Haddad.
Ali Haddad: Le Capo di tutti oligarchi

Il n’y a pas de fumée sans feu

Ali Haddad vers le même sort que que Rafik Khalifa.

Naguère très influent et puissant, le milliardaire algérien Ali Haddad, le porte-parole des oligarques algériens, traverse une très mauvaise passe à Alger, et son prestige auprès des décideurs algériens en prend un petit coup. A la veille de l’élection présidentielle de 2019, Ali Haddad, le principal bailleur principal du quatrième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, ne cesse de prendre des coups. Et cette fois-ci, les autorités algériennes s’attaquent à ses «banquiers ».

Selon plusieurs sources proches des milieux bancaires algérois, Omar Boudieb, le président du Crédit populaire d’Algérie (CPA), l’une des banques publiques les plus importantes du pays, a été limogé pour avoir accordé des crédits très généreux à Ali Haddad et ses alliés du Forum des Chefs d’Entreprises (FCE), le puissant patronat algérien. Des crédits aux montants jugés faramineux, octroyés pour des projets qualifiés de non-structurants et manquant de rentabilité. En pleine crise financière, Omar Boudieb a « soigné » son ami Ali Haddad en lui accordant un traitement de faveur qui n’a pas du tout été apprécié par le Palais d’El Mouradia, lequel a lancé une véritable opération « mains propres » pour démontrer à l’opinion publique que les lobbies de l’argent n’ont plus le pouvoir en Algérie.

Selon les informations (maghreb-intelligence), d’autres banquiers très proches d’Ali Haddad et de ses amis oligarques sont dans le viseur des autorités algériennes. Il s’agit notamment du PDG de la Banque Nationale d’Algérie (BNA), Achour Aboud, très critiqué pour le niveau élevé des dettes impayées des hommes d’affaires algériens, notamment Ali Haddad qui a largement bénéficié des largesses de la BNA pour des projets économiques qui n’ont apporté aucune valeur ajoutée à l’économie algérienne.

Rachid Metref, le PDG de la puissante banque CNEP, est également dans le collimateur et risque de sauter dans le sillage d’un mouvement en cours de préparation au ministère des Finances. Même Ahmed Ouyahia, le Premier-ministre et ami personnelle d’Ali Haddad, n’a pu protéger les amis banquiers de l’oligarque en perte de vitesse.

 

Sources : Layla Haddad , https://lafriqueadulte.com/

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